Les forces spéciales forment un écosystème qu’il est difficile d’approcher et encore plus de photographier. Si leurs actions sont le plus souvent spectaculaires et donc visuelles, les personnels eux sont souvent réticents à ce genre d’exercice. La thématique du reportage « sous anonymat » fait donc autant référence aux missions de l’ombre de ces militaires, qu’au nécessaire travail de respect de leur identité cachée.
Le socle du métier des équipiers du 1er RPIMa est de mener, par petites équipes, un combat sur les arrières de l’ennemi, en zone d’insécurité.
Pour cela, le régiment dispense lui-même les formations spécifiques nécessaires à la conduite de ses missions opérationnelles.
Dans le cadre de la formation continue, les sports de combat sont pratiqués régulièrement dans le dojo du régiment afin de développer la force mentale ainsi que les qualités techniques nécessaires à la réalisation des missions. Bayonne, le 13 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_001
Dans le cadre de la formation continue, les sports de combat sont pratiqués régulièrement dans le dojo du régiment afin de développer la force mentale ainsi que les qualités techniques nécessaires à la réalisation des missions. Bayonne, le 13 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_002
Des opérateurs préparent une caisse d’armement avant un départ en mission. Bayonne, le 14 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_003
Les opérateurs « Patrouille Stick Opérations Spéciale » (PATSAS) installent l’armement de bord sur un véhicule de patrouille spéciale (VPS) avant un exercice de franchissement. Région de Bayonne, le 14 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_004
Stage de formation des pilotes PATSAS (Patrouille Motorisée Stick Action Spéciale). Région de Bayonne, le 15 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_005
Analyse des résultats du tir après une séance sur l’un des nombreux stands de tir que possède le régiment. Bayonne, le 14 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_006
Un tireur devant sa cible durant un exercice de tir. Bayonne le 15 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_007
Un trinôme progresse dans un bâtiment. Bayonne, le 15 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_008
Séance de tir en mouvement. Bayonne le 15 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_009
Deux opérateurs d’un groupe contre-terrorisme libération d’otage (CTLO) dans une colonne d’assaut. Bayonne, le 16 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_010
Une colonne d’assaut du groupe CTLO vient de faire sauter une porte avant de pénétrer dans un bâtiment. Bayonne, le 16 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_011
Exercice de largage par hélicoptère Cougar d’un groupe d’opérateurs. Région de Bayonne, le 16 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_012
Après avoir palmé durant 2 heures pour parcourir 8 kms, les équipiers s’infiltrent en ville afin de poursuivre leur mission. Bayonne, le 16 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_013
Un binôme sécurise l’entrée d’une rue pour permettre au reste du groupe de s’infiltrer. Bayonne, le 16 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_014
Place d’armes du régiment, le drapeau français est en berne suite aux décès des deux commandos français, Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, pendant l’opération de libération d'otages, au Burkina Faso. Bayonne, le 13 mai 2019. ©A.Karaghezian/ECPAD/2019_ECPAD_042_B_001_015
Stèle commémorative en l’honneur des commandos morts en opérations extérieures située dans l’enceinte du régiment. Bayonne le 13 mai 2019.
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