L’opération Harpie est une opération interministérielle française réalisée en Guyane depuis février 2008, menée conjointement par les forces armées en Guyane (FAG), notamment le 9e régiment d’infanterie de marine (RIMa), et la gendarmerie nationale, afin de lutter contre l’orpaillage illégal. Dans ce cadre, des patrouilles sont effectuées à la recherche des orpailleurs et des sites illégaux. Elles s’effectuent à la journée ou sur une semaine, voire plus, dans des conditions très difficiles : mauvais temps, chaleur et humidité, terrain irrégulier, animaux venimeux…
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_004_026. Guyane, mars 2021. La pirogue, l’un des vecteurs d’infiltration le plus couramment utilisé, longe les mangroves sur le Maroni. ©F. BOGAERT /ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_004_047. Guyane, mars 2021. Deux piroguiers sont nécessaires à la navigation, un pilote et un guide à l’avant. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_004_072. Guyane, mars 2021. Les pistes se transforment fréquemment en petites rivières. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_003_113. Guyane, mars 2021.La tronçonneuse est un outil utile pour les camps; abandonnées, elles sont récupérées sur les sites d’orpaillage illégal. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_047_045. Guyane, mars 2021. « Un bruit de moteur ! ». ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_002_054. Guyane, mars 2021. Site d’orpaillage illégal : après avoir coupé les arbres, de grandes ravines sont creusées par des motopompes pour extraire l’or. Lors de ce processus, les orpailleurs illégaux versent des hydrocarbures et du mercure dans l’eau. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_003_046. Guyane, mars 2021. Un binôme sort un moteur caché dans l’eau par les orpailleurs surpris par l’arrivée des militaires. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_003_067. Guyane, mars 2021. Destruction d’une table de levée. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_003_085. Guyane, mars 2021.Les garimpeiros cachent leurs moyens de locomotion. Aux abords des pistes, un scooter est découvert. Il sera détruit. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_004_085. Guyane, mars 2021.Un tronc d’arbre déraciné fait office de pont. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_009_011. Guyane, mars 2021.Les animaux se confondent avec leur environnement, raison pour laquelle il est difficile pour un œil non entraîné de les repérer. Cette petite tortue se confond avec les feuilles mortes qui jonchent le sol. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_003_081. Guyane, mars 2021.La forêt est très dense, il est facile de se perdre. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_003_095. Guyane, mars 2021.Les efforts de la journée se lisent sur les visages. Guyane, mars 2021. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_002_071. Guyane, mars 2021.A proximité du lieu de bivouac, les criques permettent de se laver et faire sa lessive. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_003_102. Guyane, mars 2021. Mise en place du bivouac par la méthode éprouvée : une bâche pour se protéger de la pluie et des chutes de branches, par-dessous le hamac moustiquaire. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE
Réf.: 2021_ECPAD_047_N_003_104. Guyane, mars 2021. La nuit tombe très vite sous la canopée; la lueur de la lampe projette l’ombre d’un fantassin sous sa bâche. ©F. BOGAERT/ECPAD/DEFENSE