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    Concours national de la Résistance et de la Déportation 2025-2026

    Partenaire du Concours national de la Résistance et de la Déportation (CNRD), l’ECPAD (Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense) propose aux enseignants et aux élèves une sélection de ressources pour aborder la thématique de l’édition 2025-2026 :

    La fin de la Shoah et de l’univers concentrationnaire nazi.
    Survivre, témoigner, juger (1944-1948).

    Centre des archives audiovisuelles de la défense, l’ECPAD conserve films et photographies autour de la découverte des camps de concentration nazis  ainsi que du retour des prisonniers et déportés, produits par le Service cinématographique de l’armée (SCA), mais également par les Signal corps américains, ou encore l’Office français d’information cinématographique (OFIC).

    L’armée, acteur et témoin de la fin du système concentrationnaire

    Dès l’été 1944, la progression des armées alliées précipite la fin de l’univers concentrationnaire nazi et de la Shoah. Au gré de leur avancée, elles sont confrontées au système concentrationnaire dans toute son horreur et toute son ampleur. Photographiée et filmée, la découverte des camps est rapidement partagée à travers le monde dès le printemps 1945. Produites par les services photographiques des armées comme par les reporters, ces images ont largement façonné nos représentations de l’univers concentrationnaire nazi.

    Quel statut pour les images des camps ?

    Au moment de la libération des camps, l’image est un support pour témoigner de la barbarie nazie, prenant le relai des mots qui manquent pour décrire « l’innommable ».  Ces images sont cependant à manier avec précaution, et nécessitent pour être étudiées d’être appréhendées tant dans leur contexte de production que de diffusion : presse, brochures, expositions… visent à dénoncer plus qu’à informer. Certaines images de l’armée cependant se distinguent par leur intention documentaire, dans une perspective d’établissement des faits à d’éventuelles fins judiciaires. Leur dimension de « preuve » peut être interrogée avec les élèves.

    L’entrée du camp de Vaihingen

    DOSSIER THEMATIQUE
    Quand l’armée française découvre le camp de Vaihingen

    Quand les soldats de l’armée française arrivent sur le site du camp de Vaihingen (annexe du Struthof) le 7 avril 1945, ils découvrent des centaines de morts et de prisonniers dans un état sanitaire épouvantable.  Les opérateurs du SCA sont dépêchés sur place, tant pour témoigner de l’horreur que pour documenter l’action de l’armée française et la valoriser, conformément à leur mission.

    PISTE PEDAGOGIQUE
    Germaine Kanova, photographe du camp de Vaihingen

    Photographe française installée à Londres, Germaine Kanova s’engage comme reporter de guerre en novembre 1944 pour suivre la progression de l’armée française. C’est dans ce cadre qu’elle photographie le camp de Vaihingen.

    Comment lire, comprendre, interpréter ces toutes premières images des camps nazis ?

    Des rescapés des camps remontent les Champs-Élysées avant de raviver la flamme de l’Arc de Triomphe avec le général Koenig

    EXPOSITION EN LIGNE
    1945 : de la découverte des camps à la commémoration 

    Une exposition conçue par l’historien Tal Bruttmann à partir des archives conservées à l’ECPAD.
    « Au printemps 1945, les armées alliées s’enfoncent dans le territoire allemand et découvrent le système concentrationnaire dans toute son horreur. Ces images ont profondément marqué nos sociétés. Pourtant, l’histoire de la découverte des camps ne se limite pas à celles-ci. La prise en charge et le rapatriement des déportés, comme les premières manifestations qui commémorent ces événements, sont autant de moments clés qui scandent le printemps et l’été 1945 ». Tal Bruttmann.

    Ressources en ligne

    • La brochure pédagogique du CNRD coordonnée par la Fondation pour la Mémoire de la Shoah et la Fondation pour la Mémoire de la Déportation.