Au programme : dix expositions en divers lieux de la ville de Château-Gontier mais aussi au pôle santé de Segré, dans des lycées angevins, mayennais, à la maison d’arrêt d’Angers… Quatre soirées débats et rencontres sont prévues les 9, 10, 16 et 21 novembre avant la grande soirée de clôture le vendredi 24 novembre au théâtre des Ursulines à Château-Gontier.
Parmi les expositions, « De boue et de larmes », une exposition fascinante et bouleversante d’images 3D sur la guerre 14-18, présentée à la médiathèque du pays de Château-Gontier dans le cadre du partenariat avec l’ECPAD et Instants 3D.
En écho à ce travail à voir dans des boîtes en bois avec œilletons de vision, le public découvrira : « Verdun in Memoriam » de la photographe Mélanie-Jane FREY, autres émotions avec un retour très insolite sur les terres des conflits de la grande guerre.
Vendredi 10 novembre à 20h15 au cinéma Les 400 Coups à Angers, le film-documentaire « Serval, quand l’armée filme sa guerre » (réalisé par Martin Blanchard, écrit par Jean-Christophe Notin et Martin Blanchard et diffusé dans Envoyé Spécial) sera projeté.
Cette soirée sera animée par Dorothée Olliéric, grand reporter de France 2.
A découvrir également :
– « De
sang et d’or » (coup de projecteur sur le fanatisme dans le sport) de Jérémy
Lempin, ancien et talentueux photographe de l’ECPAD, au Jardin de la Source et
au Jardin des Senteurs.
– « Indélébile Ebola » d’Arnaud Roiné, photographe à l’ECPAD, à la chapelle
Saint-Julien du Centre hospitalier du Haut-Anjou.
« L’histoire de l’aviation », exposée sur les grilles du Centre hospitalier du Haut-Anjou du 11 août au 17 septembre dernier (pour le Laval Aéro Show) était également une exposition réalisée dans le cadre de notre partenariat. L’ECPAD proposait de découvrir à Château-Gontier, Laval et à Mayenne une sélection de 35 clichés. Des As de la Première Guerre mondiale aux engagements contemporains, des mécaniciens aux appareils, ces images rendent hommage à celles et ceux qui, depuis plus d’un siècle, font le prestige de l’Armée de l’Air française. L’exposition a été gracieusement offerte au festival et reste visible là où se déroulait l’Aéro show.
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